• Aujourd'hui je publie un nouveau poème, il faut dire que je n'étais pas inspiré cet hiver, donc dur d'écrire quoi que ce soit. Mais avec le retour du Printemps, je devrais être un peu plus inspiré, avec notamment la reprise de mes balades. J'espère que ce nouveau poème vous plaira, bonne lecture !

     

    © Ce texte est protégé par la propriété intellectuelle toutes copies interdites sans mon autorisation merci.Par propriété exclusive de l'auteur, la copie et les utilisations partielles ou totales de son travail sont interdites ; conformément aux articles L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle.

    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    La Lectrice

     

    Elle était assise entre deux arbres en fleurs.

    Alors que doucement le vent ses longs cheveux effleure,
    Sa chevelure flottant tel un magnifique étendard noir.

    Elle tenait dans ses mains un vieux et beau grimoire.
    Elle lisait d'anciens contes de fées d'autrefois,

    Des histoires depuis longtemps sortis des mémoires.

    La Lectrice levait sa tête quelquefois,

    Afin de contempler les pétales danser dans le vent.

    Le même air glacé qui faisait flotter ses cheveux de jais vers l'avant.

    Cachant son visage que je pense rêveur, paisible.

    Cependant s'approcher était impossible.

    Nous étions dans deux mondes différents.
    Nous étions deux esprits errants.
    Chacun du côté de sa page du livre,

    A profiter du Temps qui nous est impartit à vivre.

     

    Écrit par Arthur Dauptain, © Tous Droits Réservés.

     

    Si vous avez apprécié ce poème, n'hésitez pas à laisser un petit commentaire pour m'encourager ! ;)

     


    9 commentaires
  • Je ne suis pas très satisfait de ce poème. Après c'est à vous de juger si il vous plait ou non, si je n'écoutais que moi, je serai que rarement satisfait de mes écrits... (Je suis perfectionniste un chouïa...) Alors je vous le met tout de même car un petit moment que je n'ai pas publié de poèmes.

    Je ferai mieux la prochaine fois.

     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    A travers l'Hiver.

    A travers la brume, la Grande Tour vous contemple.
    Ici le Cœur de la Terre bat de glace.
    Le Givre recouvre la terre tel un draps ample.

    Le Rempart effondré se dresse comme une grande masse.

    Le monde est immobile, silencieux, comme mourant.

    Atmosphère suspendu comme dans une crypte.

    Dans le vent froid, je continue ma route tel un errant.

    J'avance sur le chemin serpentant à faible rythme.

     

    Écrit par Arthur Dauptain.

     

    A travers l'Hiver


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  • L'histoire de ce poème est un peu particulière, je l'ai écris spontanément durant une partie de jeu de rôle.

    Je jouais un paysan, et le défi était que je fasse un court texte d'une humeur poétique de mon paysan en commençant chaque phrase par "Heure de ...". Quand c'est pour faire des rimes et de beaux textes, je réponds toujours présent, donc bien sûr que j'ai accepté !!

    Donc voici ce petit poème sortant d'un de mes rôle play que je vous laisse ici pour le plaisir de jouer avec les mots.

    Car je suis toujours là quand y'a des rimes dans l'air, des vers à faire !

     

    Bonne lecture !

     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

    Heure de Cultiver

     

    Heure de se tirer de sa paillasse.
    Heure de ne pas faire sa feignasse.
    Heure de sortir au champs et attraper sa bêche.
    Heure de labourer avant que la terre ne sèche.
    Heure de semer de nouvelles graines d'espoir.
    Heure de travailler jusqu'au soir.
    Heure de récolter les récoltes devenues matures.
    Heure de dire merci à la Nature.

     

    Écrit par Arthur Dauptain, ©Tous Droits Réservés.

     

    Un champs de blé entrain de pousser parsemé de coquelicots

    Quoi de mieux pour illustrer ce poème que cette photographie que j'ai prise aux alentours du mois de Juillet

    de ce champs de blé poussant et parsemé de coquelicots.


    4 commentaires
  • Il y a un long moment pour vous, court pour moi, que je n'ai rien publié sur le blog.
    Les politiques de modifications de contrat d'eklablog (imposition de la pub, suppression des revenus des blogueurs.)et les nombreux bugs m'ont un peu dégoûté de tenir mon blog. Mais pour vous faire rêver, voici un poème. Un poème avec des Elfes  de surcroit, ça manquait d'Elfes en ce moment. Bah quoi, c'est pas vrai ? Vous n'étiez pas en manque d'Elfes et de magie ? Nan, mais je passe pour quoi moi maintenant ?.
     

    J'espère qu'il vous plaira.

     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    La Traversée du Pont

     

    Ils étaient une cohorte s'approchant du pont sur la rivière.
    Pâles Cavaliers d'une race immortelle et fière.

    Ces preux chevaliers Elfes brandissant leurs bannière et leurs lances.

    Au son léger des sabots de leurs pures montures blanches.
    Leurs armures brillaient à la lumière de la Lune.

    Tel un rêve à la douceur d'une plume.

    Le bataillon de guerriers passa le pont en silence.

    On pouvait bien se demander où les mènerait leur errance.

    À leur cité d'arbres au cœur de la forêt ?

    À une lointaine guerre loin de ce bois et son orée ?

    Ils continuèrent leur route tel des apparitions,

    Poussés à l'aventure par on ne sait quelle mystique pulsion.

    Repasseront-ils un jour sur le vieil édifice de pierres ?

    Je n'oublierai jamais cette vision entremêlée de lierre.


     

    Écrit par Arthur Dauptain, © Tous Droits Réservés.

     

     

    Screenshot, Elfes traversant un pont.

    Petite illustration pour éviter que l'article soit trop morne et juste composé de lettres ! ;)


    20 commentaires
  • Lorsqu'on écarte ses soucis un instant et qu'on contemple de belles choses, les poèmes s'écrivent d'eux même sur les feuilles blanches. Instants enivrants d'où naquit également ce nouveau poème. Bonne lecture chers lecteurs et lectrices.
     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     
     
    Songe d’Éther
     
    Rêveuse qui rôde sous le sourire de la Dame de la Nuit,
    Oublie le temps qui passe pour s'adonner à l'ennuie.
    Dans une brume de perles d'azur grimpée sur une racine,
    Contemple merveille grondante sous les branches d'un saule qui l'avoisine.
    Merveille d'un rêve doux qui n'est que éphémère.
    Hélas quand l'heure du réveil sonnera,
    Cette tendre contemplation ne sera que souvenir amer.
    Un souvenir d'éther qui dans sa mémoire restera,
    Telle une seconde vie qui existe réellement,
    Une existence qu'elle rejoint quand elle songe ne serait-ce qu'un moment. 
     
      Écrit par Arthur Dauptain, © Tous Droits Réservés.
     
     

     
     

    Moment de rêverie sous un saule virtuel

    Lorsque le temps est trop mauvais et le monde pas assez beau pour rêver, il reste toujours l'exploration virtuelle pour trouver rêves à conter.


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  • J'ai écris le poème que je vous publie me change de d'habitude, j'ai trop souvent l'impression de tourner en rond et d'écrire les même choses. Ce poème  est de base inspiré des châteaux japonais, ces magnifiques constructions sont un vrai régal pour les yeux et l'imaginaire. Mais très vite mon imagination c'est mise à fonctionner réinventant l'idée de base. Bonne lecture chers lecteurs et lectrices.



    On m'a encore demandé pourquoi je ne propose pas de livre édité de mes contes et poèmes. Je n'ai pas envie d'être édité car j'ai peur des demande de modifications que pourrait me demander un éditeur. Puis, publier des livres c'est bien, mais après faut conquérir ses lecteurs. Je préfère publier ici sur le web pour être proche de vous, quitte à en tirer aucun salaire.

     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    Le Palais de l'Île Volante.

     

    Magnifique palais, il est tour forteresse,

    Seul sur la colline il se dresse.

    Il émerge d'une mer de fleurs blanches.
    Un océan de neige poussant sur les branches,
    Des vieux et vénérables cerisiers.

    Bras, Toits, Pétales levés vers le Ciel,
    Tous unis comme dans la prière au Soleil désiré.
    Tableau vivant immobile peint sur une toile pastel.
    Une île qui vole aux grès des vents.
    Château siégeant dans son paysage émouvant.
    Il continue son voyage tel un nuage paisible.

    Seulement visible des personnes suffisamment sensibles.

     

    Écrit par Arthur Dauptain, ©Tous droits réservés.

     

    Le Palais de l'Île Volante - Poème

    Château d'Osaka, Japon, auteur photographie inconnu. Source.


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  • Ce poème a été très apprécié de mes bêta testeurs qui l'ont trouvés très mignon, alors je vous le publie.

     

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    Mystérieuse Dame Kitsune

     

     Je dédie ce poème à xYume et Eiko, mes bébés Kitsune.
     

    Petite ombre rusée dans les champs et forêts,
    Tu te déplace lentement de tes bats noirs.
    Femme ou animal selon comment tu te regarde dans un miroir.
    Tes vêtement de douceur qui de roux et de doré. 
    Te protège du froid quand tu dors.
    Tu trottine dans les campagnes d'humeur farceuse.
    Tu terrasse ces vils mulots sans le moindre efforts.
    Mais les gens ont peur de tes idées malicieuses.
    Démone et protectrice, deux visages derrière un même sourire.

    Kitsune se roule en boule dans la neige dans un soupir
    Rêve à l'odeur des champs et des plaines ensoleillée.
    Blotti en boule protégée par sa queue animale.
    Belle messagère blottie dans une position fœtale.
    Mais le gel ne peut t'atteindre, car tu es la chaleur de l'été.
     

    Écrit par Arthur Dauptain, © Tous Droits Réservés.

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  • En attendant que je finisse la relecture de mon chapitre 2 de "Une Flamme dans l'Ombre", je vous propose ce petit poème écrit il y a quelques jours. Un poème où je m'amuse à créer des points commun entre les roses et la glace. Chacun ses délires poétiques, non ?

    Bonne lecture chers lecteurs et lectrices ~

     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    La Glace est une Fleur

     

    Le Froid griffe de ces épines.
    De ses bras d'eau crée nombre de sculptures fines.
    Glace délicate comme des pétales.
    Gelée doucement rampe et s’étale.
    Neige, tu fane sous la pluie.
    A cause de ton cœur froid, personne ne t'aime.

    Il faut dire que tu représente la désolation aussi.

    Tu ne veux recevoir de la consolation,

    Et non toute qu'on te jette toute cette haine.

    Alors au Printemps, tu décide de prendre autre forme,

    Tu deviens Rosier sous le bel Orme.

    Puis la Rose redeviendra de Glace,

    La Fleur reprendra sa place.

     

    Écrit par Arthur Dauptain, ©Tous Droits Réservés.


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  • Un petit poème improvisé en m'inspirant d'une image.

     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    La Mère et son Nourrisson.

     

    Elle regardait son enfant se nourrir calmement à son sein.

    "Mon enfant, quel sera ton Destin ?

    Sera tu un guerrier ou un poète ?

    Tu grandiras et tu seras les deux peut être ?"

    L'Enfant s'endort dans la chaleur maternelle.
    Mère veille sur son trésor le plus précieux.

    Quel sera le futur du petit être caché la tête contre la mamelle ?

    Personne le sait, ni sur Terre, ni dans les Cieux.

     

    Écrit par Arthur Dauptain ©Tous Droits Réservés. 

     

     

     

     

    Femme et son Enfant

    Femme et son Enfant.


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  • Inspiré d'une image, de choses, de faits, de ma magie et de la Nuit.

    Poème d'Espoir, de Sang, de Magie, de Violon aussi.

    Il y a plusieurs jours que je n'avais plus écrit avec mon cœur et ma magie, heureux de vous revoir.

    Quand tu finis d'écrire un bon poème, tu pleures, c'est le cas ici.

     

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    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    La Sylphe au Violon

     

    "Dans le silence d'une ville fantôme,

    Une petite fille jouant de son violon.
    Son geste si fin que l'instrument paraissait autonome.

    Avançant dans des rues sombres couvertes de sang tout du long,

    Jouait, criait, pleurait, riait le duo magique.

    La fillette ferma les yeux et oublia ce lieu tragique.
    Sous la Dame de la Nuit Joyeuse, la femme resplendissait et souriait.

    Le sang devint pétales de roses puis s'envola, disparu.
    Joyeuse apparition joue à la Lumière jusqu'à ce que la Lune se couche, 

    Abandonnant ce monde près d'une souche."

     

    Écrit par Arthur Dauptain, ©Tous Droits Réservés.

     

     

     

    Image d'inspiration

     

    L'héroïne de mon poème est en réalité morte.
    J'ai voulu effacer tout le morbide du texte et donc j'ai utilisé une inspiration féerique.

    "Sylphe" veut dire peuple de l'air, esprit, mais peu aussi caractériser cette âme qui s'évanouit.


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