• Un conte féerique, un peu naïf, écrit juste pour vous faire rêver. Replongez dans un de mes univers féerique et elfique peuplé de licornes sauvages, de grandes forêts et de magie inspiré de temps anciens aujourd'hui oubliés à jamais... Voici le dernier conte en retard. Je vous désormais pouvoir me consacrer entièrement à l'écriture des trois contes en cours d'écriture. Oui, je suis fou ! Bonne lecture et à bientôt chers lecteurs !

     

    © Ce texte est protégé par la propriété intellectuelle toutes copies interdites sans mon autorisation merci.Par propriété exclusive de l'auteur, la copie et les utilisations partielles ou totales de son travail sont interdites ; conformément aux articles L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle.

    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    Un Soir à contempler les Fées

     

    C

     

    ette histoire commence dans une clairière sous la lumière bleutée de la Lune. Minuit avait sonné, la Dame de la Nuit souriait à l'écume de la cascade, brume comme mille fils d'argent à filer en belle étouffe de rêve. Arrivèrent volant sans bruit, en pirouettes d'entre les arbres, une vingtaine de petites fées. Parmi elles, une fée des plantes que vous connaissez peut être, la gentille est un peu tête de mule Fée Pistyl. La demoiselle des Fleurs commençait sa journée. Elle allait en voletant parmi les fleurs et fougères pour rejoindre ses sœurs. Toutes se mirent à danser en ronde dans les airs en chantant, certaines jouant de la lyre, d'autres de la flûte. La Joyeuse Compagnie dansa ainsi avec grâce un long moment.

     

    Soudain, elles poussèrent un cri. Un cri qu'aucune syllabe humaine ne pourrait traduire. Elles levèrent les bras au ciel et restèrent figées dans les airs immobiles. Était-ce un rituel qui m'était inconnu ? M'avaientt-elles repérées derrière ma cachette de feuilles ? J’encourrai, même pour un Elfe des Forêts, le terrible Courroux des Fées !

     

    Les fées se dispersèrent rapidement , je perdis même de vue la Fée Pistyl. Malgré ma taille un peu plus grande que celle d'un humain, je monta dans un arbre et commença, courant à travers la cime de la Forêt, à rechercher les traces de la fée qui me plaît tant d'observer.

     

    D'un coup, je me figea soudain à un son. Des sabots. Mes yeux gris cherchèrent à travers les feuillages l'origine du bruit. Les fées ne possèdent pas de sabots n'est ce pas ? Je la vis, une licorne, belle et blanche. Un mâle qui arborait sa corne frontale fièrement. Sa crinière brillait à la lumière de la Lune, flottant avec fougue. Ne vous trompez pas, les Elfes ne chevauchent pas de licornes. Ce ne sont là que de pâles bêtises... Du moins, pas tout les Elfes, seulement quelques rares grands héros des Peuples Elfique. Pour monter une telle créature, il faut avoir été accepté par celle ci. Sinon vous subirai son caractère sauvage. J'attendis patiemment que l'unicorne s'éloigne loin de moi par prudence avant de reprendre ma recherche de la frêle Pistyl.

     

    Je ne tarda pas à la revoir, dansant parmi les pétales et la rosée sur les fleurs. Quelle magnifique grâce ! Quelle beauté simpliste ! Elle s'approchait doucement des délicats pétales blancs des églantiers sauvages pour en prendre les perles de rosées et les boire. Je la vis près d'un vieux sureau, qui avait profité d'une vieille trouée dans la cime des chênes et des châtaigniers pour pousser. Elle prit des feuilles qu'elle cousue avec de fins brins d'herbes pour se parer d'une nouvelle robe d'un beau vert bien vivant. Elle s'aspergea le visage de rosée avant de repartir disparaître dans le bois.

     

    Je retrouva sa piste dans une clairière que je connais bien car les vents d'une tempête ont couché beaucoup d'arbres, et les souches pourrissantes hébergent de nombreux champignons tous délicieux. Du moins, les Elfes supportent leurs nombreux poisons. La coquette avait cueillie une pâquerette pour en orner ses beaux cheveux verts. Qu'elle était mignonne ! Elle s'approcha d'un champignon et commença à lentement grignoter le haut de son chapeau de manière fort gourmande.
    Je voulu m'approcher encore un peu d'elle, je voulais être plus prêt d'elle pour admirer sa jolie petite bouille aux joues rosées... Mais … Bien mal m'en prit ! Morefeuille de belle lune de Mielcrelune ! Comment un Elfe peut être si maladroit pour faire craquer une branche morte ? Au son de ma sôtise, la fée disparut, et jamais de la Nuit la revis.

     

    Toutefois, je recroisa la licorne !

    Et bien heureux d'avoir cette fois ci trébuché sur une racine, mon fessier échappa ainsi de sa corne !

     

    Il est sûr que si vous voulez observer ces magnifiques créatures, fées ou unicornes, il faudra vous armer de prudence.

     


    Écrit par Arthur Dauptain, ©Tous Droits Réservés.


    7 commentaires
  • L’Écrivain n'était pas motivé. Il n'arrivait à rien d'autre qu'à se détendre. Il avait besoin d'un petit coup de pouce.
    Il décida alors de fabriquer une [Potion de Rage] sur son établi. Il se dit qu'avec une double dose ...

    --> ["Ça roxera plus du poney Fortblanc !"].
    La potion finie, il la bu et ...

     

    L'écrivain, devenu berserk, se mit à tellement marteler son clavier si fort et vite, (+19 FOR et 262 dps/sec) que l'ordinateur le planta là et le laissa tout seul. ("Il me tapait plus vite que quand il tape un balrog sur son morfeug aussi...") Il perdit ainsi l'équivalent de une heure de frappe tapée en 10 minutes. Il se sentit couillon et décida de doser plus doucement sur la [Potion de Rage] par la suite.

     

    Le prochain conte arrive [VITESSE LUMIÈRE] !

     

    [Potion de Rage Qui Vous Arrache la Culotte]:

     

     

    Edit : Conte publié : "Un Soir à contempler les Fées"


    votre commentaire
  • Un nouveau conte, plus traditionnel que d'habitude parlant de l'Unicornis (la Licorne) dans un portrait moins féerique et flatteur. Cette créature, ressemblant à un cheval arborant fièrement sa corne, tel un Roi sa tiare, reste un Symbole de Pureté et de Liberté. Je vous laisse savourer ce conte et vous souhaite une bonne lecture mes chers lecteurs et lectrices !

    J'ai fais aussi vite que possible pour le publier, et même si je manquais de volonté flagrante, j'ai réussi la relecture réécriture et survivre à toutes ces horribles fautes à corriger dans les plus brefs délais !

     

    © Ce texte est protégé par la propriété intellectuelle toutes copies interdites sans mon autorisation merci.Par propriété exclusive de l'auteur, la copie et les utilisations partielles ou totales de son travail sont interdites ; conformément aux articles L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle.

    © Dauptain A A Arthur, Tous Droits Réservés.

     

    Unicornis

     

    Il existe un magnifique Cheval de Pureté à la robe blanche de Merveille. Ses sabots sonnent comme le tonnerre et ses hennissements s'entendent à des lieux à la ronde. Il parcourt les forêts à la vitesse de l'éclair. Foule les collines plus rapide que l'air. Cette créature arbore avec fierté sa corne unique ornant son front, comme la tiare, le front d'un Roi.

     

    On raconte que si un jour l'unicorne acceptait de devenir le Destrier d'un Guerrier, ce guerrier, à condition d'avoir l'âme la plus pure, deviendra le plus fort de tous et nous dominera tous. Mais bien sûr, ce n'est pas vous qui possédez le Seigneur des Cheveux, c'est Lui qui vous possède. Puis un être si pur n'existe pas n'est ce pas ? À moins que ce soit un nouveau né …

     

    C'est sans doute ce que pensa une femme du Peuple des Hommes. Lorsque qu'elle entendit parler de ce fabuleux destrier inaccessible... Son mari désapprouva son idée de montrer leur fils à la licorne. Mais au fond de lui, il se dit que si l'idée de son épouse venait à fonctionner, il serait le premier à posséder l'Unicornis... La bête avait été aperçue près des Cairns des Premiers Hommes. Il laissa finalement sa femme y aller.

     

    La mère partit avec son nouveau né parmi les collines mortuaires. Collines centenaires où furent enterrées les dépouilles des Anciens, dont encore beaucoup murmurent sous leur dernière demeure de terre et de pierres. Mais de journée, ces lieux ne sont point sordides mais plus féeriques. Les nombreuses collines à l'herbe verte semées de pâquerettes abriteront un jour les histoires du Peuple Caché. Paysage fantastique mais bien réel de collines et de grands bancs qui servirent aux Géants. Tenant fermement son nouveau né, elle chercha longtemps la créature tant convoitée dans ce lieu d'Histoire et de mystères. Mais soudain elle vit un éclat de lumière près de l'orée d'un bois. Elle le suivit et pénétra dans la forêt. Après une courte marche, elle rencontra sa majesté aux sabots au sein d'une clairière verte de mousses, bercée d'un vif ruisseau la traversant en son centre.

     

    Les Arbres se rappelleront encore longtemps de la triste et horrible scène qui va suivre.
    Le monstre de si près, bien plus haut qu'un Homme ou qu'un Elfe, n'avait plus rien d'enchanteur. Il se déchaîna, la crinière hirsute, hérissant et se cabrant plein de rages et de colères en voyant la mère et l'enfant. Encore quelqu'un qui voulait le posséder, Lui, le Sabot de Tonnerre ! Il hennit plein de rage, frappant le sol de colère. La femme prit peur et tenta de fuir avec son protégé. Mais l'unicorne chargea, naseaux fumant et empala de sa corne le cœur de sa victime qui mourut dans un hurlement. Le démon foula ensuite le bébé qui pleurait paniqué, le broyant sous ces sabots. Quel horrible monstre haineux !

     

    Mais pourquoi une telle colère me direz vous ?

    Vouloir posséder nui à votre pureté. Soyez modeste et acceptez ce que vous offre la Vie avant que ne le reprenne la Mort.

     

    Écrit par Arthur Dauptain, © Tous droits réservés.

     

    J'espère que ce conte vous aura plus. Il est possible que j'écrive une suite. Car le veuf de la pauvre femme ne va t'il pas chercher à se venger de l'Unicornis ?
    Une suite nommée "La Chasse à l'Unicornis" pour bientôt ? A vous de me soutenir et de me suivre sur les réseaux sociaux en attendant d'autres contes écrit par ma plume. A bientôt !

     


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